Contagiosité COVID-19 : comment limiter la propagation du virus ?
La contagiosité du COVID-19 ne cesse d’évoluer, en raison des modifications que subit la souche du virus d’une année à l’autre.
Il n’est d’ailleurs pas le seul virus à muter, puisque le vaccin de la grippe doit être révisé d’une année à l’autre en fonction des prévisions épidémiologiques.
La prévention de cette maladie respiratoire aiguë repose essentiellement sur la vaccination et les gestes barrières.
L’équipe médicale de Feeli fait le point sur le COVID-19 : où en sommes-nous aujourd’hui ? Combien de temps dure la contagiosité du COVID ? Quand se faire tester ?
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- Contagiosité du COVID : définition, facteurs de risque
- Contagiosité COVID : qu’est-ce qu’un coronavirus ?
- Comment se transmet le COVID-19 ?
- Évolution des variants et situations à haut risque de transmission
- Comment se manifeste le COVID ?
- Combien de temps est-on positif au COVID ?
- Quand faire un test COVID ?
- Que faire quand on a le COVID ?
- Comment prévenir la contagiosité du COVID-19 ?
- Les points essentiels
Contagiosité du COVID : définition, facteurs de risque
Le COVID-19 est une infection virale, caractérisée par des symptômes respiratoires aigus. Cette maladie, potentiellement grave, est causée par un nouveau type de coronavirus, le SARS-CoV-2.
Signalé pour la première fois fin 2019 dans la région de Wuhan en Chine, le COVID-19 est à l’origine d’une pandémie (épidémie mondiale).
L’infection par le SARS-CoV-2 entraîne un spectre de symptômes assez large, pouvant aller de l’insuffisance respiratoire asymptomatique (non grave) au décès de la personne.
Plusieurs facteurs de risque de développer une forme grave du COVID ont par ailleurs été identifiés par les médecins :
- L’âge avancé ;
- Une défaillance du système immunitaire, comme une immunodépression ;
- Les maladies chroniques (ou comorbidités), comme une maladie rénale chronique, le diabète, etc. ;
- Ou encore la grossesse.
Bien que la souche du virus évolue d’une année à l’autre, les vaccins se sont montrés assez efficaces dans la prévention de la transmission du COVID et très efficaces pour prévenir la mortalité et le développement des maladies graves.
D’autres mesures de prévention de la contagiosité du coronavirus comprennent les gestes barrières, parmi lesquels :
- Le port d’un masque ;
- La distanciation sociale ;
- Le lavage des mains ;
- L’isolement des malades.
Le diagnostic du COVID repose sur le test PCR (voir aussi, test covid à domicile) ou antigénique, qui permet l’analyse des sécrétions nasales respiratoires supérieures ou inférieures.
Le traitement comprend le soulagement des symptômes, les médicaments antiviraux, les corticoïdes ou l’administration des anticorps monoclonaux.
Pour obtenir davantage d’informations sur les tests, consultez test COVID : quand et où se faire tester ?
Contagiosité COVID : qu’est-ce qu’un coronavirus ?
Le COVID-19 est causé par le SARS-CoV-2, un type de coronavirus. Bien qu’il existe des centaines de coronavirus différents (tous apparentés), la plupart de ces virus respiratoires infectent principalement les animaux.
De manière générale :
- Les coronavirus qui peuvent infecter l’homme sont peu nombreux ;
- La plupart ne peuvent causer que des simples rhumes (voir aussi, comment soigner une rhinopharyngite ?) ;
- Il existe 3 types de coronavirus dangereux, pouvant provoquer des maladies très graves et mortelles.
En plus du COVID-19, les coronavirus peuvent être à l’origine d’autres infections graves, néanmoins assez rares, comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS).
Contagiosité COVID : comment le virus se transmet-il ?
Le COVID-19 se propage essentiellement par contact rapproché :
- Lorsqu’une personne infectée éternue, tousse, parle ou fait de l’exercice, par l’intermédiaire de gouttelettes respiratoires dispersées dans l’air.
- Ces gouttelettes respiratoires peuvent parcourir de courtes distances et se déposer directement sur les muqueuses d’une personne. Certaines particules peuvent même persister plusieurs heures dans l’air et parcourir des distances plus longues (supérieures à 2 m) avant d’être inhalées ;
- La contamination peut également avoir lieu lors d’un contact direct avec une personne infectée, lorsqu’on s’embrasse ou se serre la main, par exemple.
- Les sécrétions nasales d’une personne infectée peuvent également se retrouver sur des surfaces contaminées. Un personne peut donc contracter le SARS-CoV-2 en touchant une surface contaminée, avant de lui-même toucher l’une de ses muqueuses (yeux, bouche, nez, etc.).
Le virus du COVID est par ailleurs très contagieux et se transmet facilement entre les personnes. De plus, la quantité de virus à laquelle une personne est exposée influence directement le risque de transmission.
Généralement, le risque de transmission est corrélé au temps passé avec une personne infectée : plus l’interaction avec une personne infectée est longue et rapprochée, plus le risque de contagion est élevé.
De plus, les patients symptomatiques ou asymptomatiques peuvent transmettre le virus, ce qui complique le contrôle de la transmission.
Une personne symptomatique est par ailleurs contagieuse quelques jours avant l’apparition des symptômes, puis quelques jours après. La charge virale dans les sécrétions respiratoires est néanmoins plus élevée quelques jours après le début des symptômes.
Facteurs de risque de la transmission du COVID
Plusieurs facteurs de risque peuvent contribuer à la propagation du COVID, parmi lesquels :
- La distance par rapport à une personne infectée ;
- Le temps passé avec une personne infectée ;
- Le nombre de personnes infectées dans une pièce ;
- L’activité, propice ou non à la propagation des gouttelettes (par exemple, crier, chanter ou faire de l’exercice) ;
- La dimension de l’espace aérien (espace fermé ou ouvert ; en intérieur, le virus se propage plus facilement).
Évolution des variants et situations à haut risque de transmission
Tout comme la grippe (voir également, contagion de la grippe), la souche virale du COVID continue d’évoluer. En fait, les variants génétiques du COVID apparaissent à mesure que le virus SRAS-CoV-2 évolue.
Certains variants sont par ailleurs nommés “Variants préoccupants” par l’OMS (Organisation mondiale de la santé), en raison du fait qu’ils sont potentiellement plus contagieux, avec un risque accru de développer une forme grave.
Ces variants peuvent aussi être moins réceptifs aux traitements et/ou aux vaccins. De plus, les variants sont aussi sujets aux mutations génétiques, qui peuvent accroître leur transmissibilité.
De même, les variants circulants précédemment peuvent rapidement être remplacés par de nouveaux variants.
Ainsi, à l’heure actuelle, les principaux variants du COVID comprennent :
- Alpha ;
- Bêta ;
- Delta ;
- Omicron.
Le variant Omicron a prédominé un peu partout dans le monde depuis le mois de mars 2022. Des sous-variants plus récents ont également émergé, plus transmissibles que la variante Omicron.
Quelles sont les situations à haut risque de transmission ?
Les situations à haut risque de contamination comprennent :
- Les environnements surpeuplés et mal ventilés : gymnases, discothèques, bars, service religieux en intérieur, restaurants d’intérieur ou encore les installations pour conditionner de la viande ;
- Et les établissements de vie collective : pensionnats, établissements de soins de longue durée, maisons de retraite, navires ou encore prisons.
Ces situations compliquent en effet le maintien des gestes barrières, la distanciation et la ventilation, du fait d’une densité de population élevée dans ces milieux. La contagiosité du COVID est donc plus élevée.
Les personnes en maison de retraite sont également plus vulnérables, du fait de leur environnement fermé mais aussi en raison de leur âge.
De plus, les personnes âgées présentent souvent d’autres troubles médicaux sous-jacents, ce qui les rend également plus à risque de développer une maladie grave.
Par ailleurs, les rassemblements privés ou les grands évènements en salle (mariages, réunions, etc.) ont également été assimilés à des taux de transmission plus forts.
Ces situations (parfois nommées « super-contamination ») sont probablement causées par une combinaison de facteurs comportementaux, biologiques et environnementaux.
Des mesures globales d’isolement et de quarantaine ont été appliquées afin de tenter de contrôler localement, mais aussi mondialement, la propagation du virus.
Comment se manifeste le COVID ?
Les symptômes du COVID sont variables d’une personne à l’autre, tout comme leur gravité.
Par exemple, certaines personnes peuvent être positives au COVID sans ressentir de symptômes, quand d’autres tombent gravement malades et peuvent mourir.
Néanmoins, les symptômes les plus fréquents comprennent :
- De la fièvre ;
- Des maux de gorge ;
- De la fatigue ;
- Des difficultés respiratoires ou un essoufflement ;
- De la toux ;
- Des douleurs musculaires ;
- Un écoulement nasal (rhinorrhée) ou le nez bouché (congestion nasale) ;
- Des tremblements et/ou des frissons ;
- Une perte récente du goût ou de l’odorat ;
- De la diarrhée ;
- Des céphalées (migraines). Voir également, comment faire passer une migraine ? ;
- Des nausées ou des vomissements.
La période d’incubation du COVID (il s’agit du temps écoulé entre l’exposition au virus et l’apparition des symptômes) varie de 2 à 14 jours, sauf pour le variant Omicron, où la maladie se développe plus vite (généralement 2 à 4 jours).
Cela étant, la plupart des personnes infectées ne développent pas de symptômes ou une maladie d’intensité modérée.
La sévérité des symptômes dépend notamment du statut vaccinal, du variant du SRAS-CoV-2 et des facteurs de risque.
S’agissant des formes graves du COVID, les symptômes peuvent comprendre :
- Des difficultés respiratoires (dyspnée) ;
- Une disponibilité réduite en oxygène (hypoxie) ;
- Une atteinte pulmonaire visible à l’imagerie médicale ;
- Une insuffisance respiratoire.
En cas d’insuffisance respiratoire grave, le traitement nécessite parfois une ventilation mécanique. De plus, le COVID peut entraîner la mort, malgré les traitements et la prise en charge médicale.
Quels sont les facteurs de risque de développer une maladie grave ?
Les personnes de plus de 65 ans présentent un risque accru de développer une forme grave, tout comme les fumeurs ou les personnes qui ont fumé.
De plus, un certain nombre de maladies graves peuvent compliquer les symptômes du COVID, telles que :
- Les cancers ;
- Le diabète ;
- Les maladies chroniques pulmonaires, cardiaques, hépatiques ou rénales ;
- Une maladie cérébrale et vasculaire ou un AVC (accident cérébral vasculaire) ;
- Une infection par le VIH ;
- Les maladies avec immunodépression ;
- La drépanocytose ;
- La tuberculose ;
- L’obésité ;
- La démence ;
- La grossesse ;
- Des troubles de toxicomanie ;
- Certains troubles psychologiques (dépression, schizophrénie) ;
- Un manque d’activité physique.
Complications et formes graves du COVID
Le COVID est susceptible d’évoluer vers un syndrome de détresse respiratoire aigu, pouvant dans certains cas entraîner la mort. Mais d’autres complications graves sont possibles, parmi lesquelles :
- Des troubles cardiaques (cardiomyopathie, arythmies, lésions cardiaques aiguës, etc.) ;
- Une embolie pulmonaire ;
- Des troubles de la coagulation, la formation de caillots artériels, une hémorragie ;
- Rarement, le syndrome de Guillain-Barré, une maladie auto-immune inflammatoire ;
- Une défaillance des organes vitaux (défaillance multiviscérale) ;
- Un sepsis (anciennement “septicémie”).
Peut-on mourir du COVID ?
Le COVID-19 est mortel, particulièrement chez les personnes âgées. En effet, le risque de décès augmente avec l’âge : la plupart des décès surviennent après 50 ans. Au delà de 80 ans, le risque est par ailleurs très élevé.
Malgré tout, même les jeunes adultes ou les enfants peuvent mourir, notamment lorsqu’ils présentent certains problèmes médicaux, comme un diabète, une obésité ou une maladie cardiaque.
Combien de temps est-on positif au COVID ?
Dans la plupart des cas, les symptômes disparaissent après une semaine. Malgré tout, chez certaines personnes, la maladie peut évoluer vers une forme grave après une semaine, dont un syndrome de détresse respiratoire aigu.
Les symptômes persistants (essoufflement, malaise, toux, etc.) sont par ailleurs plus fréquents en cas de maladie grave et peuvent durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois (COVID-long).
De même, certains patients peuvent rester positifs aux tests PCR viraux – indépendamment des symptômes – pendant une période d’au moins 3 mois.
Cela étant, la maladie est rarement contagieuse après 10 jours d’infection, même pour les patients dont les symptômes persistent.
Les séquelles à long terme surviennent généralement après une maladie grave. On estime que près de 25 à 50% des patients pourraient développer un COVID long.
Les symptômes fréquent du COVID-long comprennent :
- Une faiblesse ;
- Des douleurs musculaires (myalgies);
- Une fatigue ;
- Un essoufflement ;
- Ou encore des troubles cognitifs.
Le COVID long peut par ailleurs être favorisé par certains facteurs de risque, qui comprennent :
- Le développement d’une forme grave de la maladie ;
- L’âge avancé ;
- Une maladie pulmonaire sous-jacente ;
- Le sexe féminin.
Quand faire un test COVID ?
Il est nécessaire de faire un dépistage du COVID-19 dans plusieurs cas de figure :
- En cas de symptômes du COVID : il est recommandé de respecter un isolement, avant de recevoir le résultat du test ;
- Lorsqu’une personne est “cas contact”, c’est-à-dire qu’elle a été exposée à une personne infectée par le COVID. Un test de dépistage peut être réalisé environ 5 jours après le dernier contact avec un malade ;
- En cas de nécessité professionnelle (personnels soignants), à l’école ou dans les milieux fermés, en particulier lorsque la personne ne possède pas un schéma vaccinal complet.
Le test PCR (réaction en chaîne polymérase) est le test de dépistage le plus fréquemment réalisé par les professionnels de santé. Il consiste à :
- Prélever un échantillon des sécrétions nasales à l’aide d’un écouvillon dans la gorge ou le nez.
Ensuite, le prélèvement est envoyé dans un laboratoire, afin de détecter la présence du virus. Le résultat est généralement disponible après quelques jours (voir également, test négatif COVID : comment interpréter le résultat ?).
Les tests antigéniques sont un autre moyen de dépistage. Bien que moins précis que les tests PCR, les tests antigéniques permettent un résultat rapide (en 15 minutes).
Ils consistent à prélever un échantillon des sécrétions nasales à l’aide d’un écouvillon dans le nez. Ils peuvent être réalisés dans un établissement de soins de santé, en pharmacie ou encore à domicile.
Comment savoir si on a eu le COVID ?
Après l’infection par le COVID-19, l’organisme produit des anticorps pour se défendre de la maladie et du virus.
La fabrication de ces anticorps peut prendre quelques semaines. Par conséquent, une analyse sanguine n’est d’aucune utilité au début de la maladie.
En revanche, une analyse de sang peut permettre d’identifier des anticorps spécifiques au virus du COVID, et donc aider à déterminer si l’infection par le COVID a déjà eu lieu par le passé.
Que faire quand on a le COVID ?
En cas de symptômes légers à modérés, les médecins conseillent :
- L’isolement : rester chez soi, ne pas sortir, ni même s’approcher d’autres personnes ;
- Porter un masque et respecter les gestes barrières pour ne pas transmettre le virus ;
- Prendre des médicaments antalgiques contre la douleur et la fièvre, comme du paracétamol ou de l’ibuprofène.
Lorsqu’un patient développe une infection grave, il est nécessaire de se rendre aux urgences d’un hôpital, notamment en cas de problèmes respiratoires. Les traitements d’un COVID grave peuvent comprendre :
- Une administration en oxygène ;
- Parfois, la prise de certains médicaments ;
- En cas de symptômes très sévères, il est parfois nécessaire de mettre la personne sous respirateur (ou ventilation artificielle) pour faciliter la respiration. Le respirateur artificiel peut être nécessaire plusieurs semaines.
Dernièrement, une dialyse peut être nécessaire en cas de problèmes rénaux. Il s’agit d’un traitement visant à remplacer temporairement la fonction rénale, en débarrassant le sang de ses toxines.
Comment prévenir la contagiosité du COVID-19 ?
La meilleure prévention contre le COVID-19 reste la vaccination, tout en restant à jour sur les doses de rappels. S’agissant des vaccins, quelques point essentiels sont à retenir :
- Les vaccins sont efficaces et respectent les normes de sécurité ;
- Le vaccin contre le COVID ne peut pas être la cause d’une infection au COVID ;
- Une dose de rappel du vaccin peut être nécessaire, car son efficacité s’estompe parfois avec le temps ;
- Comme tous les vaccins, celui contre le COVID-19 présente des effets secondaires, principalement légers (courbatures, fièvre, maux de tête, douleur au bras) pendant quelques jours ;
- Il est conseillé de se faire vacciner même si on a déjà eu le COVID-19.
En plus de la vaccination, il est conseillé d’éviter toute exposition au virus, même si cela n’est pas toujours facile en raison des personnes asymptomatiques.
Comment respecter les gestes barrières ?
Le port du masque est la principale mesure préventive après le vaccin. Il doit couvrir la bouche et le nez et doit être porté dans plusieurs situations :
- Dans les lieux publics, particulièrement en intérieur, lorsque la densité de la population est élevée ;
- En présence d’un risque accru de maladie grave ;
- Quand on est malade et en présence d’autres personnes ;
- Quand on est personnel soignant ;
- Et enfin dans les transports en commun (bus, trains, avions, etc.) ou les lieux d’affluence (gares, aéroports).
En plus de la vaccination et du port du masque, d’autres gestes barrières sont recommandés :
- En présence de symptômes du COVID : faire un test de dépistage ;
- Éviter les endroits surpeuplés, mal ventilés ou qui n’ont pas d’air frais venant de l’extérieur ;
- Maintenir une distanciation sociale d’environ 2 mètres avec les autres personnes, particulièrement lorsqu’on n’est pas vacciné et personne à risque ;
- Se laver les mains le plus souvent possible, avec de l’eau et du savon pendant au moins 30 secondes ;
- Utiliser un désinfectant ou un gel hydroalcoolique pour les mains ;
- Dans la mesure du possible, éviter de se toucher les yeux, la bouche, les yeux ou le nez ;
- Resté isolé lorsqu’on est malade ;
- Ne pas tousser ou éternuer dans sa main mais mais plutôt dans un mouchoir en papier, qu’il faut ensuite jeter à la poubelle ;
- Désinfecter ou nettoyer fréquemment les surfaces ou les objets touchés, à l’aide de lingettes désinfectantes ou d’un nettoyant ménager en spray ;
- Surveiller ses symptômes et faire attention à sa santé.
Contagiosité COVID : les points essentiels
Le COVID-19 est une maladie respiratoire aiguë, potentiellement mortelle.
Cette infection virale très contagieuse, qui touche principalement les voies respiratoires et les poumons, est provoquée par un nouveau coronavirus : le SARS-Cov-2.
Les symptômes sont par ailleurs variables d’un individu à l’autre. Certaines personnes peuvent en effet être asymptomatiques, quand d’autres patients tombent très malades et peuvent mourir.
S’agissant du diagnostic, il est confirmé par un test PCR ou antigénique, qui permet l’analyse d’un échantillon prélevé à l’aide d’un écouvillon dans le nez ou la gorge d’une personne.
Même si aucun médicament ne peut guérir le COVID-19, certains médicaments antiviraux peuvent être utilisés pour réduire le risque de développer une forme grave de la maladie.
La meilleure prévention contre le COVID reste la vaccination (schéma vaccinal complet).
N’hésitez pas à vous rapprocher d’un médecin généraliste pour davantage d’informations. Une consultation en ligne présente l’intérêt d’une prise en charge rapide, sans RDV. Prenez soin de votre santé !
Besoin d’un avis médical ?